Le Capital des Mots.

Le Capital des Mots.

Revue littéraire animée par Eric Dubois. Dépôt légal BNF. ISSN 2268-3321. © Le Capital des Mots. 2007-2020. Illustration : Gilles Bizien. Tous droits réservés.


LE CAPITAL DES MOTS - CLÉMENT VELLUET

Publié par Le Capital des Mots sur 27 Novembre 2018, 13:11pm

Catégories : #poésie, #poèmes

 

Les démons pleuraient des visages bénis, ou les cicatrices mendicités, des mystères embrassant les lèvres aux flots d'abeilles, flagellées, ô cloches brûlant les vertiges azurés, ô automnes capillaires, des craquements Lumière, les yeux amoureux, des vins astrologiques, ô blasphèmes des hymnes éternels, les charmes avalements, des biotiques Art ou pleuvent, des âmes buvant des alcools nonchaloirs, des poumons nourritures, ou germent les mystères impuissances, les doigts harmonieux caressant, des épileptiques prodiges, des pensées philtres, ô flûtes électroniques, des ossements crachés, des délices odoriférants, ô rêves ondoyants, des voluptés imprimées, dans les cœurs dévoilés, éblouissants, des peaux arrachées, aux délicates cruautés, des genoux temporels, ô cadavres ironisant, des regards suicidés, des enchantements, ou tremblent des soleils damnés, ô déchirements, des singularités mordorées, des ascèses plastiques, des acoustiques souvenirs, en des extases embaumant, les beautés, nageant à l'intérieur des sirènes immaculées, vierges ô fontaines, des transparences, ou des fécondations illuminées, sanglantes, des pâleurs, des statues limitatives, des sculptures universelles, ou des cristaux incantatoires, mû, des invisibilités, chantant des larmes à trois mains, ô bleuies, des évaporations, aux clartés des puissances glorieuses, des fruits d'horloges vespérales, ô étoiles / les hasards, en vagissements cérébraux, ou bavent, des paradis langoureux, parfums des abysses agonisant, des climats aux blancheurs, des raisins électriques, ô cheveu, des préciosités miroitant, des baleines syntaxiques, des religions murmurées, les blessures miroirs, aux superbes cendres, des nudités destructrices, les entrailles, des martyrs châtrés, des syncopes animales, des zéphyrs temporels, les natures digitales, des étrangetés mensonges, les rameaux infâmes, des chats statiques, immobilistes, dé-jetés, des océans polyglottes, ô ruptures, des végétations, aux ailes rieuses, les transports, de ruches cérébralités, les étreintes, des cailloux songes, les lamentations pachydermiques, des ventres intuitifs... O grappes, des liquides tristesses, des liquides, en accordéons catégoriels, péchés, ô fusions des grâces célébrations, les ténèbres défuntes, les perfectibles linceuls, des reflets descriptifs, des rouages, aux équilibres orgueils, les stigmates d'encres, aux gérondifs créatures, ô flacons des bouches, les vacheries, en déhiscences, des déserts agnostiques, ô compagnons, des neurologies, en chrysalides individualistes, ou rient, hilares, les ongles, en cécités topologiques. O rayons descendus, les homogénéités, des libellules religieuses, les mémoires, des peintures, ou danse, un grillon à travers des nœuds mimétismes, ô semences, des noires ontologies, ou d'indicibles anatomiques métamorphoses, les écueils spectraux, les encéphales rougeoyants, des contemplatifs diamants, les mélancolies déployées, des ruissellements languissants, les écueils cubiques, ô impalpables impuissances, des souffles moléculaires...

 

 

Des soupirs de cheveu chantant les âges ensanglantés, des délires pleurant les naissances, des douleurs écumeuses, ô désordre des fruits, en éveils ô aurorales soleils, des prisons automnales, ô étangs, ou les chardons dans les commissures des cygnes, dansent à l'intérieur d'une âme, oiseaux psyché, ô toisons des assoupissements, ou lavent les ténèbres des cercueils, aux sanglots les cieux à la main, d'un linceul épouvanté, la lampe des solitudes fermentées, des voluptés, ou nagent les zéphyrs, à la lèvre paresseuse, ô baisers des bras silences, descendus, dans les souffrances gémissantes, des cœurs en pensée tellurique, porcelaine, ô inconnu univers, des tourmentes, de l'oubli éteint, sycomores, des poussières providentielles, lois, des blasphèmes humidifiés, acoustiques, des fleurs les riches moissons, des plaisirs vivants, ô ineffables soleils, des rayons pourpres, aux tachetures des déserts, les regards enviés, les vignes stériles, ô sables, des transparences, aux pâleurs, des oliviers magnifiques, ô pieds, des enfantements humectés, des yeux perçants, les éclairs, au parfum enroulé, des émotions bleues, les espérances, et les ignorances du peuple, au doigt prophétique, les nuages incendiés, pyramidaux, au-delà, des bruyères confondues, comparatives, sous des sapins de langue, aux plantations lynchées, des firmaments anatomiques, microscopiques, ô crachats flamboyants, des machines à l'esthétique, des statues pantelantes, décharnées, ô mâchoires traversées, de chairs en vins, incontinences, étranglements, d'une plume à l'encre indivise, aux roulantes et mécanistes mémoires, des auréoles animistes, ô contemplation, des figements de fontaines, incrustées aux souffles, des locomotives adorées, par les doigts, sourde imprimerie, des disgrâces, les masques, aux brouillards d'illusions subsumées, d'entrailles gisantes, des palpitations, d'un souvenir, aux paupières hideuses, rires des pierres, aux terreurs, les châtiments, les Panthéons bohémiens, vectoriels, des charmes d'astres avalés, dans les mythologies, d'automates désespérés, épouvantés, des tempêtes applaudissant, les victoires sculptées, des démons semblables, à des recueillements, en pâmoisons engloutissant les miroirs, des albatros mangeant, des algues d'amour spectrales, ô immensités, des alcyons roulant dans les mouches chiffres, numériques à cheval, et germant, des noires libellules, aux épures, des mûres animaux, murmurant des souffles de flûtes, aux délires gonflants, les luttes d'une langue, aux émanations, des siècles immobiles, ô multitudes, des évolutions, aux fresques criminelles, des porphyres des diamants, aux épis vierges, des stigmates flottants, des génératifs croulant, des ignorances, des phantasmes d'algèbres pourprées, des ulcères, aux lèpres crevassées, des lèchements d'archanges, aux araignées fumantes, des lessives néants, ô splendeurs monstrueuses, des angles tordus, des particules enfers, les crânes d'ailes, aux hasards pneumatiques, des destinées électricités, ô jalousies, des prodiges à genoux, sinistres ruines, des océans pyramidaux, en guerres égoïstes, partageant les lointaines résonances, des navires, à fleurs maladives, ô miracles accroupis, buvant des écailles, d'amours incandescents, cartésiens essentialismes, des transparences, alcools !! tournoyant des viandes, aux combinatoires scientificités, des billets en gestations émotionnelles, aux cantiques, des paupières, aux Crétacés, exhalant, des papillons symbiotiques, synthétiques, des soupirs, les soieries, des réjouissances, ravissements, des embrassements, en flocons campagnards, des apparences graphologiques, des miroirs, semant et dégorgeant, des expiations lâchées, les immortelles pubescences, du Jugement constellé, de pampres et de fées, aux semences sibyllines, ô latine peinture, des chagrins mystiques, les légumes en toilette, des remerciements impressionnistes, des commerces méthodologiques, aux biologies commutatives, des gravitations, aux stylisations, des trous efflanqués, de taches aux incurables traçabilités, des misères élastiques, plastiques,ô nourritures, des métalliques frottements, les harmonies, des mendicités, aux ploiements, des esclaves, aux suintements, des nidations rougissements, symptomatologies, des pudiques et chastes peignes, des singes en cigarette, les positionnements indifférenciés, des paysages velléitaires, ô signature des cabinets, les matières aux blondes attitudes, aux blonds imagos, des rires, des monuments génétiques, ô ailes boitant, des mimétiques cécités, de marbres, en lave par endroit des tuniques, à tigre moléculaire, ô silence saignant, déferlant, des gorges trouées, tournoyants, comme des fabuleuses inclinaisons tropiques, intégrations, des humeurs transférentielles, au-delà des équilibres binaires, des abeilles nouvelles, ô nature des symboles, des accouplements sociologiques, aux cellules cataractes, aux itératifs volumes, des entropiques géographiques, des réflexologies d'amour circonflexe, des défunts ostensoirs, les bercements topologiques, grammaticaux, du souvenir, ô flâneries, des narines discursives, théologiques, ontiques, orgiaques vomissures, des copules cuisinées, des étincelles, de chevaux hurlants, les félicités, les genoux en des cloches rougeoyantes, des sida pelliculaires, obsessionnels, polygones des nombres, ô théâtres à bouteilles lynchées, des vivres arrachées, aux coquelicots matriciels, des peupliers jambes, ô évanescences, des couteaux soûls, ô désert de patience, aux églises voyelles, ô pierreries, des espèces d'adieux cristaux, ô dômes de la Beauté, au-delà des assassins Verbe, des morcellements, les viscosités, en paralytiques, écureuils refus,hilares, intériorités, des conductibilités, à poignards maladifs, épileptiques, des eunuques temporels, des brises eschatologiques, pavanant les gazouillis, des écureuils magnétiques, ô timbres, des imperceptibles cheminées, aux digressions dépersonnalisées, ô folies hallalis, aux framboises, des architectures, les instants instrumentaux, des sagesses, aux chapelets opulences, les anatomiques populaces, des jaillissements, aux ongles préparés, aux nourritures mémorielles, traînant des alcôves, aux sources inextinguibles, ô dauphins, de carafes d'hémoglobines, à la Femme initiale, des syntaxes couverts, de langues sauvages, au-delà des défendues pulpes, des claquements d'orages mansuétudes, ô déplacements, des grecs indigos et blancs, des politiques, libellules, les vieillesses entropiques, ô violettes pendaisons, des autrefois quadratiques, ô clepsydres des phantasmes, ô pharmaceutiques d'aloi.

 

 

 

Des béatitudes suprêmes, ou les crachements, les doigts ensorcelés, par des soleils en porcelaine, en accordéons des abeilles d'or, ô chastetés-mémoires, je découvre les immaculées lumières flottantes, à travers des noirceurs théâtrales, des acmés paroxystiques, les arborescences en diamants déontologiques, des végétations mélodieuses, belles, esthétiques, transfusions, des miroirs en baleines intellectuelles, chimies des Divinités pétrolières, cartésiennes, structuralistes, inconscientes, pyramidales, polynomiales, des phantasmes blonds, indivisibles, néants, des phénoménologies, en delà des protectionnistes analytiques, des truculences temporelles, des empirismes automatismes, des propriétés à chiffres vins, ô les pâmoisons des flûtes PIB, des colibris à fontaines, chantant, des églogues irrationnels, des combinatoires, à roseaux améthystes, des Hommes évolutifs, pensant des antimatières, à dédoublements cathartiques, des voyelles amoureuses, des roses à nébuleuses ployées, des denrées athées, imaginaires ! des aurorales à genoux, devant les langues, ou pleuvent, des chairs miroirs, des cristaux songeant, onirismes, des voluptés émanant, d'un rire quantique, géographique, incompressible. Déplacement. Des comparaisons. Des silences impalpables. Ou fermentent, des citrons péchés. O mortifications, des cécités séraphines, les Providences, des flacons hygiéniques, des profondeurs blâmées, damnées, des torsions, à tissus nucléaires, à télescopes décharnements, « ouvertudes », des hasards nourritures, les âmes cryptologiques, les danses instrumentales, chaotiques, hébéphréniques, jalouses, à cicatrices émotionnelles, innervées, des discriminants étoilés, d'églises gonflées, pneumatiques, ô astres géométriques, les fourmillements positionnels, à distanciations, des nirvâna, en cathédrales, les cubismes aliénés, démentiels, des morcellements itératifs, des besoins modélisations, ô biologies, des réflexivités à distance, ou des exhalaisons, confondues, comparatives, en jaillissements échographiques, plasticités, des tabacologies murmurées, des sarments de la chair, en pétale infinitif, aux pensées choir, chues. Des illuminations temporelles, photographies, psychédéliques, ô irrégularités, des fractales égyptologies, des transcendantales énergétiques, ou ruissellements, les piliers symbolisations, des télékinésies engrammes, des çà incarnés.. . Des hypostasies telluriques, des balances, des négritudes diffractées, des homogénéités, à astres, des incomplétudes, déterministes. Chevelures des obsessions, ou se noient, les araignées verticales, en déhiscences, des grappes à 8 fenêtres littérales, ô sociolinguistiques, des volitions plantées, des blessures cosmétiques, ô cris primales, des incubes volées, des éléments, à atmosphères pénétrées, des substantialistes, hégémonies du doute. O pachydermes, des enfantements théodicées, des mythologiques incubations, aux abstinences, aux viandes, des sables cosmologies, universels, ô azurs, des ongles mimétiques, photographies. Des irrigations critiques, phénoménologies, des oculistes Verbes, en des prostitutions manichéennes, des voiles, à réfringences magnétiques, à anthropologies, des alimentaires iconoclasties, des scepticismes, à conductions intemporelles. Des cathodes créationnistes, ou les parallélismes mosaïques, hermétiques, des inesthétiques, non-propositionnelles, au-delà des alcools prosternés. Des transparences virginales, dans les myrrhes peccadilles, les réactionnelles inductions, à jachère topologique, des évanescences financières, tactiles, génétiques, des ossements qualitatifs, des ossements cataleptiques, des idylles, en Platonisme, des entrelacements, d'yeux instillés, des pulsations économiques, ou des plantes Talmudiques, génératives, des mécréances, d'yeux ornementaux, vases, quintessences, à des molaires reptiliennes, des fronts statiques, ô excrétions, aux harmonisations des hectiques profondeurs, des stases tristesses, des grottes nouménales, ou se balancent les déités agricoles, ô besoins des flux à topiques désincrustation immobilistes des mers, mû des positrons hybridations, ô viandes des plantes, des entendements paradigmatiques, les gazes infinitifs, incréés, ô cathodiques accouplements, mathématiques, des sensuelles projections, trajectoires matricielles, aux déterministe écologiques, des psychiatries aveuglées, des aveuglements microscopiques, ô délires d'ondes cérébrales, ou des décantations morphogénétiques, des analogies limitatives, abhorrées, en des incomplétudes, érections, des reflets dynamiques, dé-corporéités, des mantras, des karmas chirurgicaux, épicuriens, des flottaisons éthologiques, ou se mire, un crépuscule pleurétique, géodésie, fiscal, des contradictions sophrologiques, des médicaments effondrements. En langues, des blés nosologies, ô inerties, à inductions pyramidales, des asymétries, à quadratures, des papillons vomissures, à scarifications, des cœurs inhibiteurs, ou pleurent, les suicidés mathématiques, les adieux divisionnaires, ô jugements, en perfectibles cycles, des commutativités communistes, les identifications transactionnelles, des alcôves brûlées, immatérielles, des aubes propédeutiques, ou germent, les extractions publicistes, nutritives, des offrandes, aux lèvres découplées, des vins caressés, en des incomplétudes, littéraires, ô logomachies, ô polysémies, des degrés à compas déstructuré, à diabétique, en des écritures diététiques, les métempsycoses schizophrénies, des intégrations inorganiques, aux porphyres, des disgrâces polynomiales, des charrues hérétiques, ergotiques, ou des autodafés orthographiques, des zéros euthanasiés, ô guitares des môles !...

 

Des pluies tergiversaient sur les balançoires d'arbres éthiques, comme des papillons blancs, génocidaires les ivresses des chairs ou des trouées d'araignées liquides, pleurent des rousseurs, aux péchés, les crâniens sensitifs, les synthétiques copules ( être) des musiciennes alvéoles, ou des échines mathématiques, langues les ventres, en vapeurs, des théodicées, genoux gérondifs, les dialectiques miroirs, des odorantes écritures, des âmes biologiques, ô cicatrices bleuies, des soleils reptiliens, des cosmiques accouchements, des plantes liquides, des bruits réalisés, par des torsions, de locomotives lâchées, des statues élastiques, extensivités, des elliptiques alcools, ô vibrisses des tordues, des quintessences, ou rêvent des oiseaux phénoménologiques, arborescences, des pellicules électroniques, transgressions des modulations, ou rient, hilares les zéphyrs à châtiés, des temporelles dynamiques, des spirales, à souffles impermanences, des arbrisseaux tactiles,tissus des comportementales échographies, des comètes amoureuses, ou roucoulent, les fragmentations, les horloges à sida, des hélicoïdales radiations des fossiles stylisations ô devenir électriques ou permutent les numérologies des yeux, d'ongles autistiques, les cygnes mangeant, dévisageant, les miettes de pins accroupis, charmes, sur des futurismes aliénations, ou des gouttes mécanistes, anthropoïdes, cerveaux des danses aux équilibres naturalistes, des épistémologies à invariances des squelettes panthéismes, informatiques, à turpitudes des Logos crachés de moléculaires abstinences à généalogies, des contraceptifs téléphonies des prothésistes chapeaux détresse. Des fleurs,ou se ramifient, les fourmis évanescences, les acryliques atomicités des beautés animistes, ô cycles des anthropophagies à Verbe des chandelles les crépusculaires grammatologies des cryptologies létales. Hystéries, des tubes ô visages, sous les cataractes, des langues vomissures, des langues analogiques à gravitations des baisers finitudes, ô machines aux images doxologies, des dimensionnelles ruptures des phantasmes sculptés, cubiques, les doxiques sécrétions des vitalistes gnoséologies des télépathies menstruations, mendicités des financières tautologies des vacuités verticales, d'où se capitalisent, les rougeurs hypothétiques,diagonalisées,boursouflées, des micelles aux aveuglements des SDF dermatoses, des épileptiques voyances aux sangs algorithmiques des et par des identités, des çà à clairvoyances auditives, des folies animales, digitales, ADN aux acuités vidées de soi en des clonages elliptiques des clairsemées à morphologies d'abeilles complexées de synapses dépassés des passéismes aux psychoses hermaphrodismes. Ils ont des yeux giclant, capitalistes, des hybridations, ou murmurent, les raisins providentiels, les catalepsies, des feux cérébraux… . Sur des crispations d'oreilles végétales, je me tins, sur des souvenirs ou les coups, les blessures, les atteintes à ma dignité, à mes distorsions veineuses, dont ma fierté en donnée physique, métaphysique, demeurée élogieuse, se dédoublaient, par des lèvres verticales, en fusées mensonges, les petites plaies infantes, mécanistes, tribales, corporéités, des lunules athées, des fistules, en dialyse des chairs, ou s'équilibrent, les odeurs cryptologiques, aux vaseuses épileptiques, charmées, des éléphants esthétiques, des catalepsies, des rires stalactites, par des cimetières, de cheminées, ou se rejoignent, se convertissent, se sécrètent, dans des émanations, de papillons génocidaires, les pulsions, des chevelures anthropoïdes, les implants discriminants, les érosions, des plantes auditives, les géographies, des pensées articulaires, homologies, des doigts ornementaux, par fusions, des craquelures échappées, mendicités, des louanges, en chrysanthèmes gnoses, des évaluations totémiques, les gestations, des chairs, en cierges, des fées bactériennes, des libellules hilares, fomentées, des violons sacrifices, en réflexives continuités, des ouïes perfectibles, sous des fulgurances, des lèpres étoilées, des nuptiaux contraceptifs, en génotypes diffractés, des publicistes arithmétiques, des astres perpendiculaires, transactionnelles généalogies, biologies, des nénuphars murmurant, les bouteilles du hasard, des abeilles immondices, voilées, par enfantements, des travestissements organiques, les péchés doigts, les sida prohibitifs, des extinctions, des appareils de rides, ou jouissent les électricités, des déplacements alcools... .

 

 

 

 

CLÉMENT VELLUET 

 

Il se présente :

 

Je me nomme Clément Velluet, j'ai 32 ans, et je suis un fervent passionné de poésie, de philosophie. 
Je suis l'auteur d'une douzaine aine de recueils de poésie, figurant principalement dans la maison d'édition Edilivre, mais aussi les Editions Atramenta, et quelques  autres. 
Je figure également parmi les revues AKENATON, FEPEMO, et même Poèmes Epars. 
Mon niveau d'études s'arrête après  une 1ère année, de Philosophie, à l'université, Lyon 3, après  avoir obtenu mon Bac Littéraire. 
 
Actuellement, je ne travaille point. 
L'écriture est  essentielle pour moi. 
Elle est même vitale. 
 
Mes recueils, parmi lesquels :
"Vertige charnel des flammes grammaticales. "
" Protensions des chairs onirismes".
"Les dépersonnalisations onirismes au-delà des douleurs réflexives". 
"Sorcellerie de la langue."
"Les pâmoisons astrales des myopes araignées télépathes."

 

Clément Velluet- DR

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